dimanche 1 juillet 2012

QUARTIERS PRÉCAIRES ONG Maison JEPHTE donne la joie aux enfants


Le 17 Avril dernier à l’accueil des Missionnaires Canadiens, représentants  ‘‘La Bourse du Samaritain’’ dans l’enceinte de l’Église Évangélique fondée par celle appelée affectueusement Maman ODRE au quartier Air-France, un sous quartier de la Commune de Port-Bouët, le Pasteur ADOGLI Christophe le Président de l’ONG Maison JEPHTE a promis distribuer des cadeaux dans les semaines avenir aux enfants des parents défavorisés. C’est chose faite.


Le samedi 16 Juin dernier, dans la salle polyvalente du Centre Pilote de Port-Bouët l’ONG Maison JEPHTE a effectivement distribué des cadeaux à plus de 700 enfants de deux(02) à quinze(15) ans.


La cérémonie s’est déroulée en présence du Représentant du Maire de la Commune, du parrain Mr ALIDZO Kodjovi Directeur de Société de son état, et d’un collectif de Pasteur. La distribution des cadeaux a précédée un culte d’action de grâce pour la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire.


La commune de Treichville est choisie pour de pareils événements en 2013.

L’INSÉCURITÉ DÉCRIÉE PAR TOUS


Chaque ivoirien devrait jouer au policier


En réalité, l’insécurité  est l’affaire de tout citoyen. La Côte  d’Ivoire revient de très loin. Elle se remet peu à peu certes. Mais pour la sécurisation du pays, des personnes  et des biens, cela n’est pas la seule charge des corps habillés. Mais de la franche et discrète collaboration de chaque citoyen avec les forces de police et de la gendarmerie, pour la dénonciation par exemple des voisins véreux. 

Il est à rappeler aujourd’hui qu’il est très facile de distribuer des armes ; blanche ou à feu, aux individus de moralité douteuse pour des salles besognes. Cependant, il est très compliqué de les récupérées. La paix étant synonyme de sécurité. Bien même qu’il n’existe pas de sécurité zéro, tous citoyens sans exception, ont l’obligation de s’investir pour la victoire de la seule Côte d’Ivoire, le pays phare de l’Afrique de l’Ouest Francophone.

LA FAMINE GUETTE DANGEREUSEMENT L’AFRIQUE DE L’OUEST

Inconsciemment, les yeux sont fermés sur la famine qui guette le continent noir, principalement l’Afrique de l’ouest. Une famine à nos portes, qui serait la cause de notre propre négligence. En réalité, par le passé, la sécheresse, et les criquets envahisseurs étaient la cause de la famine. Ceci est une histoire racontée à certaine génération. Mais, c’est du vécu pour les autres. Cette fois-ci, le cas qui nous guette, ne sera plus ni la secheresse, ni les criquets envahisseurs. Mais de la pure négligence de la part de nos grands planteurs.

 Car, le temps jadis, nos parents avaient des greniers de produits vivriers bien remplis avant de se tourner vers les cultures de café, cacao, qui sont à ne point douté, le poumon économique de nos pays respectifs. Des produits que nous même nous ne consommons pas. Mais qui sont vendus sur les marchés internationaux. 

Mais la réalité du moment est alarmante. Alors que nos populations se multiplient et crient à la cherté de la vie, nos espaces à exploiter pour les cultures de premières nécessités sont la plus part exploités pour l’hévéaculture. Une culture de cinquante (50)  années de vie. Ainsi, par notre propre négligence, l’Afrique de l’ouest serait obligée d’importer des produits de premières nécessités.

AFFAIRE DE DÉCHET TOXIQUE EN CÔTE D’IVOIRE



“Le défenseur des victimes enfouit dans des déchets ”


Monsieur Charles Koffi est le président du réseau de la coordination nationale des collectifs des défenseurs des victimes de déchets toxiques déversés à Abidjan, la capitale économique de la Cote d’Ivoire.

Dans le but de rentrer en possession des fonds destinés à l’indemnisation des victimes, mais qui seraient détournés. Monsieur Charles Koffi a organisé une manifestation de protestation contre X. c’est au cours de ladite manifestation qu’il a été interpellé. Présenté à la barre du tribunal de première instance d’Abidjan le lundi 18 Juin 2012, le prévenu a été reconnu coupable de dénonciations calamiteuses, et de l’atteinte à l’ordre public. En répression, le tribunal l’a condamné à six (06) mois d’emprisonnement. Ce n’est pas tout. 

Il est désormais frappé de cinq (05) années d’interdiction de paraitre sur l’ensemble du territoire ivoirien excepté son chef lieu de naissance. Il perd également ses droits civiques pour une durée de trois (03) ans.
Les victimes soucieuses de leurs sorts, recherchent une nouvelle orientation.