lundi 20 août 2012

LES BRANCHEMENTS ANARCHIQUES ET SES EFFETS NÉFASTES, LA CIE EST-ELLE COMPLICE ?

Les réalités sur le terrain sont palpables et très amères. Tantôt, si ce n’est des habitations en bois qui sont ravagées par des flammes causées par des courts-circuits ,ce sont des bougies allumées pour s’ éclairer à cause de coupures répétées d’électricité qui accuse d’énormes dégâts matériels et aussi souvent des pertes en vies humaines, dans des quartiers dits précaires.

 L’État de Côte d’Ivoire soucieux de ces désagréments essaye de trouver des solutions en procédant par la distribution gratuite des ampoules dites économiques (de moindre consommation).

En effet, les transformateurs existants sont vieillissants, avec des capacités réduites, donc ne pouvant plus répondre aux attentes de la population, à cause  du surpeuplement de celle-ci. L’action de l’État est à saluer. Par contre certains citoyens proposent autres solutions qui selon eux, feraient gagner la compagnie ivoirienne d’Électricité ‘‘CIE’’.  Revenir  sur la promotion des compteurs électriques à carte, ou encore, des compteurs additionnels dans chaque cour commune. Ils pensent aussi que certains individus trafiquent l’électricité avec la complicité des agents véreux de la CIE.

Ce pendant, ils proposent que la CIE procède à des mutations des agents qui auraient servi longtemps au Sud du pays au Nord ; ainsi ceux du Nord au Sud vis-versa, afin d’éviter trop de complicité au détriment des abonnés sérieux. Surtout qu’un citoyen peut servir partout et à tous les postes si simplement, il aime son pays.

LA VIE DANS UN ENVIRONNEMENT SAIN DONNE UN CORPS SAIN


Il suffisait que nous soyons conscients que ‘‘vivre dans un environnement sain coûte moins cher pour la santé, et entretenir sainement chez soi, c’est gratuit pour se porter bien’’.

Personne n’aimerait passer toute sa vie dans la précarité. Mais si par des contraintes, l’on se trouve obligé de vivre dans des sous-quartiers appelés communément ‘‘bidonvilles’’ ou ‘‘quartiers précaires’’, il suffirait de rendre son alentour propre. Ce qui pourra nous aider à respirer de l’air pur, naturel, source d’une bonne santé, voir la longévité. Mais l’on constate pour la plus part des cas, que certaines familles qui, certainement par manque de revenus adéquats, ne pouvant pas se loger dans des quartiers dits résidentiels, trouvent leurs points de chute dans des quartiers dits précaires. Là où, des structures (adduction d’eau potable, électricité etc.) font défaut. Alors que l’idéal exige à l’humain, le minimum de propreté pour améliorer sa santé, certains habitants négligent leur condition de vie et pensent que les endroits où ils vivent sont fixés par leur destin, dont la fin de leur monde.

En réalité, vivre dans des quartiers dits précaires, n’est ni l’effet d’un mauvais sort, encore moins d’une malédiction quelconque. L’on pouvait y mener une vie saine, toutefois en entretenant la propreté et avoir la bonne santé.

Malheureusement,  de manière inconsciente, la bonne partie des populations ne semblent pas se soucier de leur vie. Si bien même qu’elles accusent les autorités administratives, politiques et municipales pour lesquelles, elles seraient électrices, les individus eux-mêmes, ne font pas assez d’efforts, pour améliorer leur cadre de vie, afin de se sentir en bon poing.

Il y a nécessité à cet effet, de mettre des équipes des services d’hygiène à leur trousse afin de pouvoir les redresser pour éviter des cas de choléra, du paludisme, de la méningite, de la fièvre typhoïde, et de plusieurs autres maladies ;dont elles sont souvent victimes à cause de l’insalubrité grandissante.

samedi 4 août 2012

LES BRANCHEMENTS ANARCHIQUES ET SES EFFETS NÉFASTES, LA CIE EST-ELLE COMPLICE ?

Les réalités sur le terrain sont palpables et très amères. Tantôt, si ce n’est des habitations en bois qui sont ravagées par des flammes causées par des courts-circuits ,ce sont des bougies allumées pour s’ éclairer à cause de coupures répétées d’électricité qui accuse d’énormes dégâts matériels et aussi souvent des pertes en vies humaines, dans des quartiers dits précaires. L’État de Côte d’Ivoire soucieux de ces désagréments essaye de trouver des solutions en procédant par la distribution gratuite des ampoules dites économiques (de moindre consommation). En effet, les transformateurs existants sont vieillissants, avec des capacités réduites, donc ne pouvant plus répondre aux attentes de la population, à cause  du surpeuplement de celle-ci. L’action de l’État est à saluer. Par contre certains citoyens proposent autres solutions qui selon eux, feraient gagner la compagnie ivoirienne d’Électricité ‘‘CIE’’.  Revenir  sur la promotion des compteurs électriques à carte, ou encore, des compteurs additionnels dans chaque cour commune. Ils pensent aussi que certains individus trafiquent l’électricité avec la complicité des agents véreux de la CIE. Ce pendant, ils proposent que la CIE procède à des mutations des agents qui auraient servi longtemps au Sud du pays au Nord ; ainsi ceux du Nord au Sud vis-versa, afin d’éviter trop de complicité au détriment des abonnés sérieux. Surtout qu’un citoyen peut servir partout et à tous les postes si simplement, il aime son pays.

LA VIE DANS UN ENVIRONNEMENT SAIN DONNE UN CORPS SAIN


Il suffisait que nous soyons conscients que ‘‘vivre dans un environnement sain coûte moins cher pour la santé, et entretenir sainement chez soi, c’est gratuit pour se porter bien’’.
Personne n’aimerait passer toute sa vie dans la précarité. Mais si par des contraintes, l’on se trouve obligé de vivre dans des sous-quartiers appelés communément ‘‘bidonvilles’’ ou ‘‘quartiers précaires’’, il suffirait de rendre son alentour propre. Ce qui pourra nous aider à respirer de l’air pur, naturel, source d’une bonne santé, voir la longévité. Mais l’on constate pour la plus part des cas, que certaines familles qui, certainement par manque de revenus adéquats, ne pouvant pas se loger dans des quartiers dits résidentiels, trouvent leurs points de chute dans des quartiers dits précaires. Là où, des structures (adduction d’eau potable, électricité etc.) font défaut. Alors que l’idéal exige à l’humain, le minimum de propreté pour améliorer sa santé, certains habitants négligent leur condition de vie et pensent que les endroits où ils vivent sont fixés par leur destin, dont la fin de leur monde.
En réalité, vivre dans des quartiers dits précaires, n’est ni l’effet d’un mauvais sort, encore moins d’une malédiction quelconque. L’on pouvait y mener une vie saine, toutefois en entretenant la propreté et avoir la bonne santé.
Malheureusement,  de manière inconsciente, la bonne partie des populations ne semblent pas se soucier de leur vie. Si bien même qu’elles accusent les autorités administratives, politiques et municipales pour lesquelles, elles seraient électrices, les individus eux-mêmes, ne font pas assez d’efforts, pour améliorer leur cadre de vie, afin de se sentir en bon poing.
Il y a nécessité à cet effet, de mettre des équipes des services d’hygiène à leur trousse afin de pouvoir les redresser pour éviter des cas de choléra, du paludisme, de la méningite, de la fièvre typhoïde, et de plusieurs autres maladies ;dont elles sont souvent victimes à cause de l’insalubrité grandissante.