dimanche 25 novembre 2012

L’ ALLIANCE ‘’AVE-KLOTO’’ FÊTÉE



VIE ASSOCIATIVE


L’ ALLIANCE ‘’AVE-KLOTO’’ FÊTÉE

En réalité, c’est dans l’union que se trouve la force.
Surtout si l’on vie dans la précarité, cette union devient impérativement une assurance.


L’AOKACI, la grande association regroupant les ressortissants de kloto en côte d’ivoire et ATRACI regroupant les AVE, qui ont vite compris, ont fêtés  leur alliance.  C’était dimanche dernier 04 Novembre 2012.  L’INJS,  sis à Abidjan Marcory a été le cadre choisi.
La réalité de la vie exige que les plus forts soutiennent les plus faibles. Car dans une union, la précarité de la vie d’un individu membre, ne s’affiche plus. Cette manière de se fraterniser, surtout quand on est à l’étranger mérite d’être encouragée l’AOKCI et ATRACI,  l’ont très tôt compris et elles ont scellé une alliance pour devenir plus fortes.
C’est en effet pour donner de bons exemples aux autres ressortissants Togolais vivant sur l’ensemble du  territoire Ivoirien qu’elles ont organisé le dimanche 04 novembre dernier une grande fête.
Dans son discours, Monsieur ATTISSO Kodjovi, Président de l’AOKCI, de surcroit vice Président de l’alliance a insisté sur la vie en union de ses compatriotes vivants en Côte d’Ivoire ceci est très nécessaire, pour des cas d’assistance en cas de maladie et autres. Il a, avant de juger le bilan positif de son alliance invité les jeunes et les membres de leurs associations à adopter de bons comportements, vis-à-vis des autorités, des frères et sœurs de la Côte d’Ivoire leur pays hôte. Il n’a pas oublié de prodiguer de sages conseils à ses compatriotes à penser au développement du Togo leur pays d’origine à partir de la diaspora ivoirienne. Le représentant de Monsieur le Consul Honoraire du Togo en Côte d’Ivoire dans sa brève intervention a encouragé l’acte posé par les deux associations. Il a souhaité que les autres associations et amicales des ressortissants Togolais en Côte d’Ivoire, leur emboitent le pas. Monsieur DANON a en fin invité ses compatriotes qui  ignorent encore le bienfait de la vie associative, d’y adhérer dès maintenant pour leur propre intérêt.
Ainsi débutée en début de matinée en présence du représentant du Consul Honoraire du Togo en côte d’ivoire, du président du haut conseil des Béninois de Côte d’Ivoire, des présidents, des différentes autres associations et amicales togolaises et de nombreux invités, la fête s’est achevée dans une réjouissance populaire au couché du soleil.

E. K. A

samedi 29 septembre 2012

TOGO Le collectif « sauvons le Togo » sauve – t – il le Togo ou le détruit – il ?


Nous le savons peut-être tous que, pour réellement sauver un pays, il faudrait que les populations aident le gouvernement à travailler pour la stabilité de son économie, de son dévéloppement sur tous les plans, la recherche de la paix entre les citoyens et enfin travailler surtout pour s’auto suffir alimentairement.
Contrairement à cela, le collectif de l’opposition togolaise denommé « sauvons le Togo » semble ne pas doter de cette vision.
Il prefère mobiliser les innocents à marcher, barricarder les voies d’accès aux
activités quotidiènnes des citoyens honnêtes. Le faisant, il sollicite la couverture des medias internationnaux pour prouver qu’il detenait la majorité de la population.
Appélé à la table de négociation qu’il réclamait à bras le corps au régime en place. Il a refusé à la fin des comptes, la main tendue du pouvoir. Une chose devrait être claire dans les esprits. Les organisateurs de ces manifestations de rues, n’ont ni leurs enfants ni parents biologiques au Togo. Ils manipulent à dessein les pauvres parents et leurs innocentes progenitures.
Le respectable homme, Monsieur GILES Christ Olympio, le président fondateur de « UFC » Union pour la Force du Changement, le principal parti politique du Togo. Cet homme conscient du retard qu’a accusé le Togo, son pays, a opté de travailler de concert avec le regime en place. Ceci, pour mettre l’interêt général de la nation togolaise devant. Espérons que ceux qui manifestent aujourd’hui le rejoindront plus tard.

Libération des armes destinées à l’armée malienne bloquées en Guinée, Assez de prudence pour la CEDEAO


 


 Alors que le gouvernement légitime malien de transition soutenu par la CEDEAO, l’UA, et les autres, demande d’aide à ces derniers pour le déploiement des forces de la CEDEAO avec les logistiques adéquats bien sûrement avec l’appui de l’ONU en vue de reconquerir l’integrité du territoire malien, dont le nord occupé par les rebelles qui y sevissent ; le capitaine, chef puchist et certains de ses partisans s’opposent à ces demandes. Au même moment, les puchists voilent dessin et reclament la liberation des armes commandées par le président légitime déchu AMADOU Toumani Touré « ATT » pour l’armée malienne avant le coup d’état contre son régime. Les armes bloquées au port de Conakry, par les autorités guinéennes sur l’instruction de la CEDEAO. A l’analyse, la CEDEAO devrait demeurer très virgilant quant à ce qui concerne la libération de ces armes. Car, il est fort probable que le chef puchist et ses hommes attendaient ces armes, pour renverser la tendance « le gouvernement de transition » et se positionner, parce que devenus forts par la possession de ces armes. Ce dernier « Capitaine SANOGO » apparement ne detient aucune capacité pour aller contre les rebelles qui sévissent au nord Mali. Encore moins, il n’a pas l’amour de son pays.


lundi 20 août 2012

LES BRANCHEMENTS ANARCHIQUES ET SES EFFETS NÉFASTES, LA CIE EST-ELLE COMPLICE ?

Les réalités sur le terrain sont palpables et très amères. Tantôt, si ce n’est des habitations en bois qui sont ravagées par des flammes causées par des courts-circuits ,ce sont des bougies allumées pour s’ éclairer à cause de coupures répétées d’électricité qui accuse d’énormes dégâts matériels et aussi souvent des pertes en vies humaines, dans des quartiers dits précaires.

 L’État de Côte d’Ivoire soucieux de ces désagréments essaye de trouver des solutions en procédant par la distribution gratuite des ampoules dites économiques (de moindre consommation).

En effet, les transformateurs existants sont vieillissants, avec des capacités réduites, donc ne pouvant plus répondre aux attentes de la population, à cause  du surpeuplement de celle-ci. L’action de l’État est à saluer. Par contre certains citoyens proposent autres solutions qui selon eux, feraient gagner la compagnie ivoirienne d’Électricité ‘‘CIE’’.  Revenir  sur la promotion des compteurs électriques à carte, ou encore, des compteurs additionnels dans chaque cour commune. Ils pensent aussi que certains individus trafiquent l’électricité avec la complicité des agents véreux de la CIE.

Ce pendant, ils proposent que la CIE procède à des mutations des agents qui auraient servi longtemps au Sud du pays au Nord ; ainsi ceux du Nord au Sud vis-versa, afin d’éviter trop de complicité au détriment des abonnés sérieux. Surtout qu’un citoyen peut servir partout et à tous les postes si simplement, il aime son pays.

LA VIE DANS UN ENVIRONNEMENT SAIN DONNE UN CORPS SAIN


Il suffisait que nous soyons conscients que ‘‘vivre dans un environnement sain coûte moins cher pour la santé, et entretenir sainement chez soi, c’est gratuit pour se porter bien’’.

Personne n’aimerait passer toute sa vie dans la précarité. Mais si par des contraintes, l’on se trouve obligé de vivre dans des sous-quartiers appelés communément ‘‘bidonvilles’’ ou ‘‘quartiers précaires’’, il suffirait de rendre son alentour propre. Ce qui pourra nous aider à respirer de l’air pur, naturel, source d’une bonne santé, voir la longévité. Mais l’on constate pour la plus part des cas, que certaines familles qui, certainement par manque de revenus adéquats, ne pouvant pas se loger dans des quartiers dits résidentiels, trouvent leurs points de chute dans des quartiers dits précaires. Là où, des structures (adduction d’eau potable, électricité etc.) font défaut. Alors que l’idéal exige à l’humain, le minimum de propreté pour améliorer sa santé, certains habitants négligent leur condition de vie et pensent que les endroits où ils vivent sont fixés par leur destin, dont la fin de leur monde.

En réalité, vivre dans des quartiers dits précaires, n’est ni l’effet d’un mauvais sort, encore moins d’une malédiction quelconque. L’on pouvait y mener une vie saine, toutefois en entretenant la propreté et avoir la bonne santé.

Malheureusement,  de manière inconsciente, la bonne partie des populations ne semblent pas se soucier de leur vie. Si bien même qu’elles accusent les autorités administratives, politiques et municipales pour lesquelles, elles seraient électrices, les individus eux-mêmes, ne font pas assez d’efforts, pour améliorer leur cadre de vie, afin de se sentir en bon poing.

Il y a nécessité à cet effet, de mettre des équipes des services d’hygiène à leur trousse afin de pouvoir les redresser pour éviter des cas de choléra, du paludisme, de la méningite, de la fièvre typhoïde, et de plusieurs autres maladies ;dont elles sont souvent victimes à cause de l’insalubrité grandissante.

samedi 4 août 2012

LES BRANCHEMENTS ANARCHIQUES ET SES EFFETS NÉFASTES, LA CIE EST-ELLE COMPLICE ?

Les réalités sur le terrain sont palpables et très amères. Tantôt, si ce n’est des habitations en bois qui sont ravagées par des flammes causées par des courts-circuits ,ce sont des bougies allumées pour s’ éclairer à cause de coupures répétées d’électricité qui accuse d’énormes dégâts matériels et aussi souvent des pertes en vies humaines, dans des quartiers dits précaires. L’État de Côte d’Ivoire soucieux de ces désagréments essaye de trouver des solutions en procédant par la distribution gratuite des ampoules dites économiques (de moindre consommation). En effet, les transformateurs existants sont vieillissants, avec des capacités réduites, donc ne pouvant plus répondre aux attentes de la population, à cause  du surpeuplement de celle-ci. L’action de l’État est à saluer. Par contre certains citoyens proposent autres solutions qui selon eux, feraient gagner la compagnie ivoirienne d’Électricité ‘‘CIE’’.  Revenir  sur la promotion des compteurs électriques à carte, ou encore, des compteurs additionnels dans chaque cour commune. Ils pensent aussi que certains individus trafiquent l’électricité avec la complicité des agents véreux de la CIE. Ce pendant, ils proposent que la CIE procède à des mutations des agents qui auraient servi longtemps au Sud du pays au Nord ; ainsi ceux du Nord au Sud vis-versa, afin d’éviter trop de complicité au détriment des abonnés sérieux. Surtout qu’un citoyen peut servir partout et à tous les postes si simplement, il aime son pays.

LA VIE DANS UN ENVIRONNEMENT SAIN DONNE UN CORPS SAIN


Il suffisait que nous soyons conscients que ‘‘vivre dans un environnement sain coûte moins cher pour la santé, et entretenir sainement chez soi, c’est gratuit pour se porter bien’’.
Personne n’aimerait passer toute sa vie dans la précarité. Mais si par des contraintes, l’on se trouve obligé de vivre dans des sous-quartiers appelés communément ‘‘bidonvilles’’ ou ‘‘quartiers précaires’’, il suffirait de rendre son alentour propre. Ce qui pourra nous aider à respirer de l’air pur, naturel, source d’une bonne santé, voir la longévité. Mais l’on constate pour la plus part des cas, que certaines familles qui, certainement par manque de revenus adéquats, ne pouvant pas se loger dans des quartiers dits résidentiels, trouvent leurs points de chute dans des quartiers dits précaires. Là où, des structures (adduction d’eau potable, électricité etc.) font défaut. Alors que l’idéal exige à l’humain, le minimum de propreté pour améliorer sa santé, certains habitants négligent leur condition de vie et pensent que les endroits où ils vivent sont fixés par leur destin, dont la fin de leur monde.
En réalité, vivre dans des quartiers dits précaires, n’est ni l’effet d’un mauvais sort, encore moins d’une malédiction quelconque. L’on pouvait y mener une vie saine, toutefois en entretenant la propreté et avoir la bonne santé.
Malheureusement,  de manière inconsciente, la bonne partie des populations ne semblent pas se soucier de leur vie. Si bien même qu’elles accusent les autorités administratives, politiques et municipales pour lesquelles, elles seraient électrices, les individus eux-mêmes, ne font pas assez d’efforts, pour améliorer leur cadre de vie, afin de se sentir en bon poing.
Il y a nécessité à cet effet, de mettre des équipes des services d’hygiène à leur trousse afin de pouvoir les redresser pour éviter des cas de choléra, du paludisme, de la méningite, de la fièvre typhoïde, et de plusieurs autres maladies ;dont elles sont souvent victimes à cause de l’insalubrité grandissante.

dimanche 1 juillet 2012

QUARTIERS PRÉCAIRES ONG Maison JEPHTE donne la joie aux enfants


Le 17 Avril dernier à l’accueil des Missionnaires Canadiens, représentants  ‘‘La Bourse du Samaritain’’ dans l’enceinte de l’Église Évangélique fondée par celle appelée affectueusement Maman ODRE au quartier Air-France, un sous quartier de la Commune de Port-Bouët, le Pasteur ADOGLI Christophe le Président de l’ONG Maison JEPHTE a promis distribuer des cadeaux dans les semaines avenir aux enfants des parents défavorisés. C’est chose faite.


Le samedi 16 Juin dernier, dans la salle polyvalente du Centre Pilote de Port-Bouët l’ONG Maison JEPHTE a effectivement distribué des cadeaux à plus de 700 enfants de deux(02) à quinze(15) ans.


La cérémonie s’est déroulée en présence du Représentant du Maire de la Commune, du parrain Mr ALIDZO Kodjovi Directeur de Société de son état, et d’un collectif de Pasteur. La distribution des cadeaux a précédée un culte d’action de grâce pour la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire.


La commune de Treichville est choisie pour de pareils événements en 2013.

L’INSÉCURITÉ DÉCRIÉE PAR TOUS


Chaque ivoirien devrait jouer au policier


En réalité, l’insécurité  est l’affaire de tout citoyen. La Côte  d’Ivoire revient de très loin. Elle se remet peu à peu certes. Mais pour la sécurisation du pays, des personnes  et des biens, cela n’est pas la seule charge des corps habillés. Mais de la franche et discrète collaboration de chaque citoyen avec les forces de police et de la gendarmerie, pour la dénonciation par exemple des voisins véreux. 

Il est à rappeler aujourd’hui qu’il est très facile de distribuer des armes ; blanche ou à feu, aux individus de moralité douteuse pour des salles besognes. Cependant, il est très compliqué de les récupérées. La paix étant synonyme de sécurité. Bien même qu’il n’existe pas de sécurité zéro, tous citoyens sans exception, ont l’obligation de s’investir pour la victoire de la seule Côte d’Ivoire, le pays phare de l’Afrique de l’Ouest Francophone.

LA FAMINE GUETTE DANGEREUSEMENT L’AFRIQUE DE L’OUEST

Inconsciemment, les yeux sont fermés sur la famine qui guette le continent noir, principalement l’Afrique de l’ouest. Une famine à nos portes, qui serait la cause de notre propre négligence. En réalité, par le passé, la sécheresse, et les criquets envahisseurs étaient la cause de la famine. Ceci est une histoire racontée à certaine génération. Mais, c’est du vécu pour les autres. Cette fois-ci, le cas qui nous guette, ne sera plus ni la secheresse, ni les criquets envahisseurs. Mais de la pure négligence de la part de nos grands planteurs.

 Car, le temps jadis, nos parents avaient des greniers de produits vivriers bien remplis avant de se tourner vers les cultures de café, cacao, qui sont à ne point douté, le poumon économique de nos pays respectifs. Des produits que nous même nous ne consommons pas. Mais qui sont vendus sur les marchés internationaux. 

Mais la réalité du moment est alarmante. Alors que nos populations se multiplient et crient à la cherté de la vie, nos espaces à exploiter pour les cultures de premières nécessités sont la plus part exploités pour l’hévéaculture. Une culture de cinquante (50)  années de vie. Ainsi, par notre propre négligence, l’Afrique de l’ouest serait obligée d’importer des produits de premières nécessités.

AFFAIRE DE DÉCHET TOXIQUE EN CÔTE D’IVOIRE



“Le défenseur des victimes enfouit dans des déchets ”


Monsieur Charles Koffi est le président du réseau de la coordination nationale des collectifs des défenseurs des victimes de déchets toxiques déversés à Abidjan, la capitale économique de la Cote d’Ivoire.

Dans le but de rentrer en possession des fonds destinés à l’indemnisation des victimes, mais qui seraient détournés. Monsieur Charles Koffi a organisé une manifestation de protestation contre X. c’est au cours de ladite manifestation qu’il a été interpellé. Présenté à la barre du tribunal de première instance d’Abidjan le lundi 18 Juin 2012, le prévenu a été reconnu coupable de dénonciations calamiteuses, et de l’atteinte à l’ordre public. En répression, le tribunal l’a condamné à six (06) mois d’emprisonnement. Ce n’est pas tout. 

Il est désormais frappé de cinq (05) années d’interdiction de paraitre sur l’ensemble du territoire ivoirien excepté son chef lieu de naissance. Il perd également ses droits civiques pour une durée de trois (03) ans.
Les victimes soucieuses de leurs sorts, recherchent une nouvelle orientation.