samedi 29 septembre 2012

TOGO Le collectif « sauvons le Togo » sauve – t – il le Togo ou le détruit – il ?


Nous le savons peut-être tous que, pour réellement sauver un pays, il faudrait que les populations aident le gouvernement à travailler pour la stabilité de son économie, de son dévéloppement sur tous les plans, la recherche de la paix entre les citoyens et enfin travailler surtout pour s’auto suffir alimentairement.
Contrairement à cela, le collectif de l’opposition togolaise denommé « sauvons le Togo » semble ne pas doter de cette vision.
Il prefère mobiliser les innocents à marcher, barricarder les voies d’accès aux
activités quotidiènnes des citoyens honnêtes. Le faisant, il sollicite la couverture des medias internationnaux pour prouver qu’il detenait la majorité de la population.
Appélé à la table de négociation qu’il réclamait à bras le corps au régime en place. Il a refusé à la fin des comptes, la main tendue du pouvoir. Une chose devrait être claire dans les esprits. Les organisateurs de ces manifestations de rues, n’ont ni leurs enfants ni parents biologiques au Togo. Ils manipulent à dessein les pauvres parents et leurs innocentes progenitures.
Le respectable homme, Monsieur GILES Christ Olympio, le président fondateur de « UFC » Union pour la Force du Changement, le principal parti politique du Togo. Cet homme conscient du retard qu’a accusé le Togo, son pays, a opté de travailler de concert avec le regime en place. Ceci, pour mettre l’interêt général de la nation togolaise devant. Espérons que ceux qui manifestent aujourd’hui le rejoindront plus tard.

Libération des armes destinées à l’armée malienne bloquées en Guinée, Assez de prudence pour la CEDEAO


 


 Alors que le gouvernement légitime malien de transition soutenu par la CEDEAO, l’UA, et les autres, demande d’aide à ces derniers pour le déploiement des forces de la CEDEAO avec les logistiques adéquats bien sûrement avec l’appui de l’ONU en vue de reconquerir l’integrité du territoire malien, dont le nord occupé par les rebelles qui y sevissent ; le capitaine, chef puchist et certains de ses partisans s’opposent à ces demandes. Au même moment, les puchists voilent dessin et reclament la liberation des armes commandées par le président légitime déchu AMADOU Toumani Touré « ATT » pour l’armée malienne avant le coup d’état contre son régime. Les armes bloquées au port de Conakry, par les autorités guinéennes sur l’instruction de la CEDEAO. A l’analyse, la CEDEAO devrait demeurer très virgilant quant à ce qui concerne la libération de ces armes. Car, il est fort probable que le chef puchist et ses hommes attendaient ces armes, pour renverser la tendance « le gouvernement de transition » et se positionner, parce que devenus forts par la possession de ces armes. Ce dernier « Capitaine SANOGO » apparement ne detient aucune capacité pour aller contre les rebelles qui sévissent au nord Mali. Encore moins, il n’a pas l’amour de son pays.