samedi 4 août 2012

LA VIE DANS UN ENVIRONNEMENT SAIN DONNE UN CORPS SAIN


Il suffisait que nous soyons conscients que ‘‘vivre dans un environnement sain coûte moins cher pour la santé, et entretenir sainement chez soi, c’est gratuit pour se porter bien’’.
Personne n’aimerait passer toute sa vie dans la précarité. Mais si par des contraintes, l’on se trouve obligé de vivre dans des sous-quartiers appelés communément ‘‘bidonvilles’’ ou ‘‘quartiers précaires’’, il suffirait de rendre son alentour propre. Ce qui pourra nous aider à respirer de l’air pur, naturel, source d’une bonne santé, voir la longévité. Mais l’on constate pour la plus part des cas, que certaines familles qui, certainement par manque de revenus adéquats, ne pouvant pas se loger dans des quartiers dits résidentiels, trouvent leurs points de chute dans des quartiers dits précaires. Là où, des structures (adduction d’eau potable, électricité etc.) font défaut. Alors que l’idéal exige à l’humain, le minimum de propreté pour améliorer sa santé, certains habitants négligent leur condition de vie et pensent que les endroits où ils vivent sont fixés par leur destin, dont la fin de leur monde.
En réalité, vivre dans des quartiers dits précaires, n’est ni l’effet d’un mauvais sort, encore moins d’une malédiction quelconque. L’on pouvait y mener une vie saine, toutefois en entretenant la propreté et avoir la bonne santé.
Malheureusement,  de manière inconsciente, la bonne partie des populations ne semblent pas se soucier de leur vie. Si bien même qu’elles accusent les autorités administratives, politiques et municipales pour lesquelles, elles seraient électrices, les individus eux-mêmes, ne font pas assez d’efforts, pour améliorer leur cadre de vie, afin de se sentir en bon poing.
Il y a nécessité à cet effet, de mettre des équipes des services d’hygiène à leur trousse afin de pouvoir les redresser pour éviter des cas de choléra, du paludisme, de la méningite, de la fièvre typhoïde, et de plusieurs autres maladies ;dont elles sont souvent victimes à cause de l’insalubrité grandissante.

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