Alors
que le gouvernement légitime malien de transition soutenu par la CEDEAO, l’UA,
et les autres, demande d’aide à ces derniers pour le déploiement des forces de
la CEDEAO avec les logistiques adéquats bien sûrement avec l’appui de l’ONU en
vue de reconquerir l’integrité du territoire malien, dont le nord occupé par
les rebelles qui y sevissent ; le capitaine, chef puchist et certains de
ses partisans s’opposent à ces demandes. Au même moment, les puchists voilent
dessin et reclament la liberation des armes commandées par le président légitime
déchu AMADOU Toumani Touré « ATT » pour l’armée malienne avant le
coup d’état contre son régime. Les armes bloquées au port de Conakry, par les
autorités guinéennes sur l’instruction de la CEDEAO. A l’analyse, la CEDEAO
devrait demeurer très virgilant quant à ce qui concerne la libération de ces
armes. Car, il est fort probable que le chef puchist et ses hommes attendaient ces
armes, pour renverser la tendance « le gouvernement de transition »
et se positionner, parce que devenus forts par la possession de ces armes. Ce
dernier « Capitaine SANOGO » apparement ne detient aucune capacité
pour aller contre les rebelles qui sévissent au nord Mali. Encore moins, il n’a
pas l’amour de son pays.
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